Après consultation du CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français), de la SCGP (Société de Chirurgie Gynécologique et Pelvienne) et de la SFOG (Société Française d'Oncologie Gynécologique), et dans l’attente d’informations complémentaires, l’ANSM recommande, à la moindre suspicion de sarcome ou de toute autre tumeur cancéreuse suite à l’analyse des données d’imagerie préopératoires (échographie, IRM, …) de ne pas faire de morcellement.
Les correspondants locaux de matériovigilance et directeurs d’établissement de santé ont reçu le message ci-joint. (20/05/2014) (23 ko)