Suite à de nouveaux cas graves de surinfections cutanées chez des enfants atteints de varicelle traités par Nisapulvol (laboratoires MAYOLY-SPINDLER), l'Afssaps demande aux pharmaciens de veiller à ne plus délivrer ce produit dans cette indication.
En effet, le talc composant du Nisapulvol est fortement soupçonné de favoriser les surinfections de lésions de varicelle.
Ce médicament, bien que contre-indiqué dans la varicelle depuis 2003, continue à être prescrit et/ou délivré dans la varicelle.
Un communiqué sur la prise en charge des soins locaux et de la fièvre dans la varicelle de l'enfant figure sur le site de l'Afssaps.